Légères et de petite taille, les balises ne doivent pas gêner les phoques lorsque ceux-ci retournent à la vie sauvage.
En juin dernier, quatre phoques gris issus du Centre de soins d’Océanopolis étaient relâchés sur la côte du Finistère avec des enregistreurs d’activité relayés par satellite via le système Argos. Les déplacements des animaux pouvaient être suivis en quasi-direct par les visiteurs d’Océanopolis dans une exposition temporaire consacrée à cette opération et par ceux du site Internet d’Océanopolis. Aujourd’hui, les quatre balises ont cessé d’émettre. Il est possible de dresser un premier bilan de cette expérience scientifique, même si, à l’heure actuelle, l’analyse des données obtenues ne fait que commencer : ce bilan est donc tout à fait provisoire.