« Le CNRS est incontournable »

Hydrogène : un chantier moteur

N° 388 - Publié le 29 avril 2021
JEAN-CLAUDE MOSCHETTI / IMN / CNRS PHOTOTHEQUE
À l’Institut des matériaux Jean Rouxel à Nantes, une scientifique tient un flacon qui contient du nitrate de nickel, utilisé pour fabriquer une cellule d'électrolyseur.

 

La Fédération Hydrogène du CNRS regroupe 270 chercheurs et 28 laboratoires en France. Créée en 2020, elle a officialisé son lancement le 9 mars dernier. Son directeur est le Nantais Olivier Joubert, chercheur à l’Institut des matériaux Jean Rouxel1. Il souhaite « affirmer la place du CNRS comme acteur incontournable de la R&D sur l’hydrogène au niveau international. »

Les axes de recherche

Quatre grands axes de recherche ont été définis : la production de l’hydrogène, notamment par des électrolyseurs haute température pour élever le rendement et diminuer les coûts, le stockage sous forme gazeuse ou solide, les usages en mobilité et stationnaires.

NICOLAS GUILLAS

1. Université de Nantes, CNRS.

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