Sciences Ouest

« Les symbioses entre animaux du passé »

« Apporter de la connaissance est essentiel »

« Saisir les liens entre religion, nature et sciences »

« La science repousse les limites du possible »

« Se sentir utile en contribuant à la science »

« Des ondes au service des personnes malvoyantes »

« C’est tout mon bureau qui part en voyage »

« Le rôle des mobilités dans les transitions »

« Comment la littérature médiévale chatouille nos certitudes »

« Les sciences fondamentales sont à la base de l’innovation »

« Dans l’enseignement, il faut quelquefois devenir une sorte d’acteur »

« Comprendre et imiter le fonctionnement de la nature »

« Comment l’IA peut servir la santé des gymnastes »

« Les fouilles archéologiques sont des fenêtres sur le passé »

« La violence de genre dans le jeu vidéo »

« Les historiens voyagent dans le temps »

« Éviter que les câbles des robots sous-marins ne s’emmêlent »

« L’intérêt de la recherche, c’est le partage »

« Les moisissures sont magnifiques »

« Mieux comprendre la prolifération des microalgues toxiques »

« Détecter les jeux de mots grâce aux intelligences artificielles »

« Les personnes handicapées sont des citoyens à part entière »

« Le favoritisme dans l’édition scientifique »

« En 30 ans, j’ai changé plusieurs fois de métier »

« Nous ne sommes pas à la hauteur des bouleversements à l’œuvre »

« Améliorer le quotidien des femmes atteintes d’endométriose »

« L’adaptabilité est nécessaire pour étudier le vivant »

« Développer un lien entre mathématiques et géologie »

« Orienter une agriculture en pleine transition »

« Le contact avec les étudiants me permet d’avoir une prise de recul essentielle »

« La polyvalence méconnue des médecins du travail »

« La pression de l’immédiateté nous fait parfois perdre le sens de ce que l’on fait »

« La route est longue pour traduire en actes les avancées de la recherche »

« Détecter les virus sur des mouchoirs pour mieux diagnostiquer les infections »

« Je suis d'un rationnel à toute épreuve »

« J’imprime en 3D les anévrismes des patients »

« Le rôle du secteur privé sur la législation du cyberespace »

« Le chercheur est souvent perçu comme déconnecté du réel »

« De nouveaux traitements pour guérir les maladies génétiques »

«J’ai toujours eu un lien particulier avec la mer»

« L’élément chimique le plus rare sur Terre pour lutter contre les cancers »

« Nous, les scientifiques, sommes responsables de ce que nous trouvons »

« Certains champignons marins dégradent le plastique »

« Sans le hasard, je ne serais peut-être pas chercheuse ! »

« Comment les eaux souterraines se réchauffent »

« Les faits ne suffisent pas toujours à comprendre et transformer le monde »

« Les effets du changement climatique sur les raies et les requins »

« Si on est ouvert à la découverte, on réussit à avancer »

« Le verre se travaille avec douceur »

« Soigner les arythmies cardiaques »

« Mieux connaître les stocks de pêche »

« J’aurais pu devenir journaliste »

« Comment les habitants sont acteurs de leur logement »

« J’ai gravi un à un les échelons du laboratoire »

« Des outils pour extraire les sucres des ulves »

« La recherche répond à mon besoin créatif »

« La biodiversité sur les terrains militaires »

« Maîtriser complètement un sujet est gratifiant »

« Je manquais de confiance en moi pour faire des mathématiques »

« Récolter le plancton en pleine mer »

« Mieux connaître les zones côtières »

« Le hasard, je l’étudie et il m’aide »

« Comment une éolienne en mer se comporte »

« Le déclic peut venir autour d’un barbecue »

« Mieux caractériser les conditions interstellaires »

« J’ai toujours été attirée par la mer »

« Lutter contre l’encrassement biologique »

«La recherche est un fil que l’on déroule»

« Lutter contre la déficience intellectuelle en cas de trisomie »

« La vie est une suite de hasards »

« Modéliser le geste pour l’apprentissage en langue des signes »

« Chercheur, c’est un métier passion »

« Les réponses du droit face au transhumanisme »

« La recherche a besoin de temps pour mûrir »

« Gérer les risques épidémiques »

« La surprise est toujours stimulante ! »

"La recherche offre une part de poésie"

« La présence de la matière noire »

« Les bons emplacements pour la vigne en Bretagne »

« J’ai découvert des relations humaines extraordinaires »

« Comprendre les Néandertaliens »

«La recherche offre une grande liberté»

« Mieux comprendre la mort subite »

« J’ai découvert un véritable trésor à Vérone ! »

« Vivre vite ou longtemps »

« La connaissance est toujours profitable »

« L’intuition m’aide dans ma démarche scientifique »

« Apprendre les sciences en maternelle »

« Une piste contre le cancer du sein »

« Il faut comprendre les causes et les effets de la pollution »

« Dans l'huître, une piste contre le cancer »

« Il faut douter pour faire avancer la recherche »

« Je cartographie le climat des vignes »

« L’inspiration est une étincelle nécessaire au chercheur »

« Découvrir l’épave du Soleil d’Orient serait superbe »

« J'étudie les mouettes tridactyles »

« La science agit pour le bien-être de l'humanité »

« Une alternative au polystyrène »

«La recherche est collective et mondiale»

« L’anthropologie est devenue ma passion »

"Il faut rester en éveil et continuer à apprendre"

« Comprendre les virus du lapin »

« Toute recherche mérite d’être envisagée »

« Sacrifier l’océan serait une catastrophe »

« Les initiatives qui maintiennent la vie sur les îles »

« Pour conduire une recherche, il faut savoir être surpris »

« Prédire la résistance des navires »

« Ce qui est admis aujourd’hui peut être obsolète demain »

« L’irrationnel ouvre le champ des possibles »

« Comprendre l’évolution »

« Appliquer l’économie circulaire à la pêche »

« Tout est bon à découvrir et à comprendre »

« Comment les territoires ont anticipé la LGV »

Un robot chirurgical pour le cerveau, ça va venir !

« La sécurité des télécommunications »

«Si je pouvais me téléporter, je signe ! »

«J’étudie les fluides »

« Le défi est d’enrayer le déclin de la biodiversité »

Je diminue la consommation des objets connectés.

Au lycée, j’étais passionné de maths et de rugby

«J’étudie les bactéries associées aux lichens »

« Les chercheurs ont besoin de rêver »

« Pourquoi le chlore des piscines irrite-t-il ? »

« Les jeunes ont le temps de faire de la science ! »

« Je regarde comment les sédiments se déplacent »

« Le seul arbitre, toujours, est la nature elle-même »

« Je cherche à décrire et préserver les poissons »

« Il y a tellement de choses à découvrir sur l’estran, tout près de nous »

«J’étudie l’action des ondes sur le corps.»

« La force de la science est de remettre en cause des vérités. »

« J’étudie l’érosion des plages. »

« Le doute fait partie de toute investigation. »

«Je conçois des molécules pour la médecine. »

« J’aurais aimé être prof de maths au lycée »

«Je valorise les sous- produits agricoles pour faire du biocarburant.»

« Sans créativité, le monde va dans le mur. »

« Se déplacer dans une vasière, ce n’est pas de tout repos ! »

«Je modélise les mouvements respiratoires pour améliorer l’imagerie médicale. »

« C’est la météo marine qui m’a donné la passion de la mer. »

J’analyse les gènes pour trouver des facteurs favorisant les maladies.

J’étudie comment les bactéries infectent les huîtres.

« Grâce à des rencontres avec des biologistes au hasard de conférences, nos recherches sur les matériaux appliquées au domaine médical ont débuté. »

« Je conçois des solutions de sécurisation adaptées aux clouds »

« Avec l’âge, j’ai perdu un peu de folie créatrice. »

« J’éclaire la justice sur les questions médicales. »

« Exposées à des substances chimiques, même à faible dose, nos cellules se modifient. »

« J’essaie de comprendre ce qui se passe au niveau des zones de subduction. »

« Ce qui m’intéresse c’est le lien entre la nature et l’homme. »

«J’ai conçu un polymère biodégradable pour traiter le cancer du foie.»

«J’aime cette idée de m’être laissé guider par le hasard.»

«L’histoire permet de relativiser les préconçus sur l’alcoolisme.»

«Nous travaillons à charge et à décharge : nous pouvons incriminer l’auteur d’une infraction, ou le discriminer.»

« Un scientifique ne doit pas se limiter à ce qu’il a envie de voir. »

«Je régénère les informations perdues!»

«J’ai conçu une application pour aider les psychiatres.»

«Je mets toute mon énergie à ne pas “utiliser” le chien, mais bien à travailler avec et pour le chien, et pour l’homme.»

«J’étudie les décisions individuelles.»

«Résoudre des problèmes qui ne viennent pas du monde des mathématiques.»

"Je construis des modèles moléculaires"

L'irrationalité est plutôt à chercher du côté de certains comportements humains

«Comment les nanoparticules se diffusent dans l’environnement»

«Le doute et l’esprit de nuance me travaillent en permanence.»

«J’étudie la viabilité de la pêche.»

«Le hasard n’est pas la tasse de thé des chimistes théoriciens.»

«J’étudie la genèse des compétences.»

«Au départ, je voulais juste faire de l’informatique.»

«J’étudie les interactions entre cerveau et ordinateur.»

«Le chercheur doit être attentif à l’inattendu.»

« J’étudie la glottophobie »

«Je suis heureux d’aider à sauver des vies. J’accomplis mon rêve !»

"Fournir des clés pour gérer l’espace marin de façon optimale."

"J’adore observer la nature : de la forêt aux étoiles en passant par la mer ! "

"Je cherche à augmenter la capacité de certaines molécules à stocker des données."

"Sous la banquise, dans l’eau à moins deux degrés, avec une faune magique et colorée…"

Un axe thérapeutique pour traiter un cancer du sein.

C’est un privilège de pouvoir explorer ce qui a été créé.

«Les plus grandes découvertes ont été faites par les plus grands fous.»

«Je m’intéresse à la déshumanisation.»

Je veux comprendre l'organisation gestuelle du joueur de tennis.

La neurologie s’est imposée

Nous avons mis au point une nouvelle génération de molécules anticancéreuses

J’aimerais que les décideurs publics écoutent davantage les universitaires.

« Je cherche un nouvel anticancéreux »

« Nous allons vivre une révolution du même niveau que celle qui a eu lieu il y a trente ans avec l’arrivée de l’informatique ! »

"Je cherche à comprendre l'engouement des Pays-Bas pour le miel breton."

Vous ne pouvez pas empêcher les gens de chercher.

« Je m’intéresse aux lieux émergents d’expérimentation numérique »

Cela étonne toujours les gens de savoir qu’il existe une différence de sexe chez les algues.

« Je travaille sur le métagénome marin »

Je suis toujours sidérée par la qualité des échanges scientifiques lors des conférences. C’est ce qui nourrit mon travail.

Je m’amuse dans tout ce que je fais.

« J’étudie l’adaptation des vers à la hausse des températures »

La recherche est une composante fondamentale de mon équilibre.

« J’étudie les vers marins »

Je me suis sentie doublement Charlie.

"Je fais de l'imagerie de la neige."

La recherche est le bon moyen pour exprimer le plaisir de créer et d’innover.

« Mes travaux entrent dans une mission de prévention et de gestion du risque. »

On n’apporte qu’une modeste pierre à un édifice. Mais c’est déjà enivrant.

J’aurais fait un bon commissaire de police

« J’étudie l’arrangement des cristaux dans la 4e dimension »

Quand on a goûté à la recherche, il est difficile d’envisager autre chose

« Faire entrer le gène dans la cellule »

« Comment se forment les chaînes de montagnes »

Plus on avance, plus on se rend compte qu’on ne sait pas grand-chose

« Je m’intéresse aux autoroutes de la cellule »

Parfois des choses non choisies s’avèrent des voies intéressantes

C’est le hasard qui a ouvert des portes qui me convenaient en somme

"J’étudie le verre... pour comprendre pourquoi il est fragile "

« J’étudie la thermorésistance des pucerons et de leurs ennemis. »

Le milieu aquatique m’a toujours attiré

Parfois, un étudiant a l’intuition d’ajouter une molécule dans une réaction chimique. Le choix ne semble pas rationnel... mais il donne des choses intéressantes !

" J’améliore le traitement d’une forme particulière de cancer du foie "

La science ne se fait pas qu’avec les idées des scientifiques

« J’invente des nanoparticules lumineuses et non toxiques »

On me reproche de toucher à tout. Mais c’est ce que je cherche : acquérir une culture générale pour mieux comprendre le monde qui nous entoure.

« J’étudie le mode de reproduction original d’un mollusque hermaphrodite »

Chercher pour comprendre comment tout cela fonctionne.

« Les lipides du lait sont loin d’avoir dévoilé tous leurs secrets ! »

« Je cherche à observer la structure d’une cellule au plus près de son état naturel »

La télétransportation, j’en rêve depuis des années !

L’ordre dans la nature est relatif. Ce sont souvent les chocs, les dysfonctionnements qui la font évoluer.

« Je cherche à mieux comprendre le fonctionnement des estuaires bretons »

« J’applique les loisde la physique quantique à des réactions proches du zéro absolu »

J’attends un nouveau bond en avant qui permettrait de rendre l’exploration spatiale plus rentable.

Je pense que l’on peut tout trouver. Ce qui importe, c’est ce qu’on en fait.

«Je cherche à comprendre les mécanismes d’une maladie auto-immune»

Il faudrait arrêter de chercher des matières premières non renouvelables.

« J’aide les biologistes à cerner ce qu’ils observent dans leurs flacons »

J’aime bien les challenges. C’est mon côté sportif !

« Je travaille sur des ondes hautes fréquences qui seront utilisées dans un avenir proche »

« Je m’intéresse aux gènes impliqués dans la naissance des cyclopes »

Se retrouver sous la glace avec les manchots, c’est tellement bien !

«J’ai étudié le plancton, près du pôle Sud et du pôle Nord. »

Le métier de chercheur n’était pas du tout une vocation.

"Je casse des gouttesde fluides"

Une énergie propre, durable et non dangereuse pour l’homme. Je pense que tout le monde rêve de ça en ce moment !

« Je cherche à développer des cellules solaires transparentes.»

J’aimerais comprendre comment l’homme peut encore devenir barbare

« Je sélectionne des solutions alternatives pour protéger les plantes. »

En recherche, il ne faut pas que des bons élèves.

« J’étudie les liens entre des territoires, l’agriculture et l’eau »

Comme dans l’art, l’irrationalité doit avoir sa part dans la construction du raisonnement scientifique.

« Je mets au point desprocédés de filtration très sélectifs »

Je retrouve avec joie l’ambiance du monde littéraire

« J’améliore la prévision des vagues »

Je retrouve les mêmes sensations de contact et de partage avec le public qu’au théâtre, en faisant de la vulgarisation scientifique.

« Je cherche à caractériser l’agressivité de tumeurs cérébrales »

Pour un archéologue, la machine à remonter le temps, ce serait génial et affreux en même temps.

« Je cherche un critère pour déterminer la transcendance de certains nombres »

En 1973, le prix Nobel de médecine est remis à trois éthologues. J’ai alors su que je pouvais faire de ma passion un métier !

« J’écris des programmes informatiques pour étudier les comportements animaux »

Ce que j’aime faire, c’est additionner des compétences pour créer de l’harmonie. Un peu comme un chef d’orchestre !

« J’étudie une plante qui envahit 64% des espaces végétalisés de la rade de Brest »

J’ai l’impression que la recherche manque de retenue, que l’expérimentation ne prend pas assez son temps.

« J’accélère des réactions chimiques avec des nanoparticules »

Je suis pour la biodiversité humaine.

« Je recherche les gènes responsables de l’engraissement des poules »

J’aime me retrouver au microscope, dans une pièce calme... sans être dérangé par le téléphone ni les e-mails.

« J’étudie des bactéries marines capables de produire du plastique »

L’océanographie nous ouvre sur le monde !

«J’étudie la dynamique des océans à petite échelle. »

« Ma maison est construite sur une forêt de roseaux pliants et pas sur un seul chêne. »

Très tôt, j’ai su que je voulais faire de la recherche en biologie.

« Je mets au point de nouveaux alliages pour le domaine biomédical »

« Je cherche à rendreles technologies sans fil plus vertes »

J’aurais aimé savoir chanter des airs d’opéra !

« J’étudie les mécanismes de l’obésité sur des miniporcs »

La découverte d’une énergie totalement propre et renouvelable serait pour moi le rêve absolu.

« J’étudie les dynamiques spatiales des organismes marins »

Je suis plus optimiste qu’avant

« J’étudie les tourbillons qui peuplent les océans »

Je rêve de pouvoir me démultiplier pour arriver à faire tout ce qui m’intéresse

« Je cherche comment reconvertir les anciennes carrières »

« Je cherche à améliorer les codes correcteurs utilisés dans les technologies numériques »

« J’aimerais trouver un engrais qui permettrait de nourrir la planète »

« J’étudie une coopération qui fonctionne depuis plus de 400 millions d’années. »

Tout est questionnable et re-questionnable.

« Je travaille sur la fatigue des matériaux »

J’aime particulièrement les poissons, sur le cerveau desquels je travaille depuis toujours.

Je suis persuadé que le monde qui nous entoure est parfaitement rationnel

« Je mets au point des outils d’assistance pour les chirurgiens cardio-vasculaires »

« Je cherche à optimiser la forme d’antennes lentilles dans les hautes fréquences »

« Je cherche à concevoir des plastiques performants. »

J'ai trouvé la stimulation perpétuelle

«Je cherche à découvrir des liens parmi des millions d’images.»

« La plage est mon principal terrain de recherche ! »

Rien ne nous empêche d’être brillants !

"C'est en observant mes éponges que m'est venue mon idée !"

« Je scrute les composés de l’eau potable. »

« Un être doué de raison peut me faire douter de la rationalité.»

«Je crée un matériau qui émet dans le rouge.»

« Depuis mon enfance passée en Afrique, les animaux m’intéressent. »

"J'étudie les espèces marines introduites"

La compréhension du rôle du boson de Higgs a changé ma relation au monde.

"Rendre ma thèse plus accessible !"

« J’étais tenté par l’aventure de l’entreprenariat. »

«Je lis le passé des poissons dans les écailles.»

" Fils de médecins, je ne voulais surtout pas faire médecine ! "

Même à 2 200 m
de profondeur,
les animaux sont
influencés par le
rythme des marées.

J'aimerais que l'exploration de la Terre continue à faire rêver.

«J’étudie des molécules capables de transporter de l’ADN dans les cellules »

« Par la recherche on apporte des connaissances et des services à la société et cela donne du sens à mon travail. »

"J’aimerais pouvoir mettre le temps sur pause."

"Je cherche à valoriser les algues vertes"

« Je crains que l’on n’arrive jamais à sortir des héritages sociaux sur les inégalités entre hommes et femmes… »

« J’utilise l’informatique pour donner du sens à des données génétiques »

«J’écoute la ville, ses ambiances sonores. J’essaye d’en définir la rumeur.»

« Je développe des outils basés sur le traitement d’images pour aider les chirurgiens »

« Je ne travaille plus uniquement pour moi, j’ai envie de partager. »

« Je cherche à comprendre les lois physiques qui régissent la dispersion des polluants »

« C’est quand ils ne savent pas que c’est impossible que les hommes font les inventions les plus belles ! »

« Pour pallier le manque d’information, les employeurs peuvent s’appuyer sur des croyances parfois erronées »

« Je redonne la vie à des espèces perdues depuis des millions d’années. »

« La molécule que je cherche pourrait aider à lutter contre des bactéries infectieuses »

« J’ai perdu l’innocence, ce qui me permet de me placer loin de la langue de bois et du dogmatisme. »

« J’ai montré qu’un groupe avait des propriétés contraires à ce que l’on supposait depuis 1894 ! »

« J’ai la chance de travailler avec une certaine liberté intellectuelle. »

« J’ai simplifié le cycle cellulaire de la levure pour en comprendre la complexité. »

« L’interdisciplinarité, c’est des histoires d’hommes et de femmes prêts à “perdre” du temps ! »

« Je cherche si l’arsenic peut être transféré dans les eaux souterraines »

« Aujourd’hui, on n’a plus le temps de mûrir ses idées. »

« De nouvelles normes socioculturelles émergent avec l’usage des nouveaux médias »

« La recherche est un métier passionnant mais très prenant »

« J’ai deux amours : les beaux-arts et la chimie ! »

«J’essaie d’améliorer la compréhension du fonctionnement de l’épaule»

« Je cherche l’origine de la mucoviscidose en Bretagne »

« Dans mon enfance, je me demandais déjà ce qu’il pouvait y avoir sous la surface. »

«Je cherche de nouvelles méthodes pour analyser des données biologiques »

« À douze ans, j’ai découvert que l’on pouvait faire de sa passion pour la nature un métier. »

« Je conçois des bioplastiques »

« Nous avons mis le doigt sur l’origine de l’apparition de la multicellularité chez les algues brunes. »

« Je cherche à améliorer des procédés utilisés dans l’industrie laitière »

« Je ne cours pas derrière une utopie. Je n’aspire pas à changer de vie. »

«J’étudie des pierres de construction pour identifier leur provenance »

« Je suis heureuse d’avoir trouvé des solutions techniques qui peuvent avoir des applications presque immédiates, ce n’est pas si courant en recherche »

«Je cherche à mieux comprendre un écosystème marin du Pacifique Est»

« Le métier de chercheur permet de se prêter quotidiennement à un jeu intellectuel, avec beaucoup de liberté. »

« J’étudie le mécanisme de dégradation de certaines protéines de nos cellules »

« Il n’y a pas d’inconnaissable ; il n’y a que de l’inconnu. »

« Je cherche les traces des bactéries qui vivaient il y a 3,8 milliards d’années »

« Chercheur n’est pas un métier, c’est une pulsion, une angoisse, un effort pour échapper à sa condition. »

« Je développe de nouvelles voies de synthèse de sucres complexes immunostimulants »

«Je sais que chaque résultat peut être remis en question à tout moment par une autre découverte. »

« Je développe une nouvelle méthode pour prédire la fonction d’une protéine »

«Le chemin est long et complexe entre le moment de la découverte et celui d’une application disponible pour le citoyen. »

J’étudie des bactéries qui vivent en symbiose avec une crevette hydrothermale »

« Que les maths et la science en général n’arrivent pas à tout expliquer, c’est bien ! Il faut garder un espace de liberté et de fantaisie. »

« Je simule des phénomènes physiques naturels dans des environnements virtuels »

« J’avais deux rêves : la médecine et la marine »

« Je n’aime pas ces machines qui prévoient tout. Laissons la place à l’imagination ! »