Quand il rime avec plaisir

Le sucre, entre plaisir et ravages

N° 414 - Publié le 30 novembre 2023

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Les édulcorants, un substitut pas si innocent

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Une question de survie

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N° 414 - Publié le 30 novembre 2023

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Grippe aviaire : les animaux sauvages en première ligne

Actualité

N° 414 - Publié le 30 novembre 2023
@ MICHAELA / PIXABAY
Le virus de la grippe aviaire touche aujourd'hui une cinquantaine d'espèces de mammifères.

La crainte monte alors que les scientifiques soupçonnent une endémisation du virus de l’influenza aviaire en France et que celui-ci touche des espèces et des zones jusqu’ici épargnées.

Automne 2021. Comme chaque année à la même période, la grippe aviaire fait son retour en France. Mais cette fois, l’épizootie est bien plus violente. Entre novembre 2021 et mai 2022, plus de 16 millions d’animaux sont abattus dans les élevages. Si l’épidémie finit par ralentir, le virus, lui, ne disparaît pas complètement. « Depuis, des cas d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP, Ndlr) sont détectés dans la faune sauvage alors que jusqu’ici c’était une maladie saisonnière, qui revenait...
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Martial Caroff, le géologue derrière la plume

Actualité

N° 414 - Publié le 30 novembre 2023
© VIOLETTE VAULOUP

Mi-novembre, le géologue breton Martial Caroff a reçu le prix du Quai des Orfèvres pour son dernier roman, une intrigue policière dans le monde de la recherche.

« J’étais avec mon chien dans la véranda quand ils m’ont appelé. Il n’a rien compris mais moi j’étais très content », se souvient Martial Caroff. Début septembre, ce chercheur en magmatologie à l’UBO1, à Brest, apprend qu’il est l'heureux lauréat du prix du Quai des Orfèvres, qui récompense chaque année le meilleur manuscrit d’un roman policier inédit. Disponible depuis mi-novembre en librairie, Ne me remerciez pas !2 est le 27e livre du Finistérien. Passions sombres Écrit spécialement pour...
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La sociologie dans l’œil des catastrophes

Actualité

N° 414 - Publié le 30 novembre 2023
@ DON HALASY
Après les attentats du 11 septembre 2001, à New York, de nombreux gestes d'entraide ont été observés.

Benoit Giry est sociologue et spécialiste des catastrophes. Maître de conférences à Sciences Po Rennes et chercheur au laboratoire Arènes, il est aussi l’auteur d’un livre¹ dans lequel il revient sur la manière dont la sociologie a progressivement fait des catastrophes un objet d’étude et sur ce que les désastres disent de nos sociétés.

Qu’entend-on par « catastrophe » en sociologie ? Ce sont des moments de débordement des dispositifs sociaux classiquement utilisés pour organiser nos existences, qui sont entraînés par des morts et/ou des destructions. Souvent, on les appelle par leur « agent », c’est-à-dire leur déclencheur. On parle de l’ouragan Katrina ou de la catastrophe de Tchernobyl. Mais en réalité, ces événements ne sont des catastrophes que parce qu’ils rencontrent une communauté humaine et ses vulnérabilités, qui...
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Les oiseaux, victimes de la tempête Ciaran

Actualité

N° 414 - Publié le 30 novembre 2023
@ ROMAIN MORINIERE
Un océanite cul-blanc soigné à la station LPO de l'Île-Grande à la suite de la tempête Ciaran.

Très exposés aux vents violents qui ont touché la Bretagne le mois dernier, les oiseaux ont payé un lourd tribut.

Début novembre, la tempête Ciaran a balayé la Bretagne. Avec des rafales dépassant les 150 km/h dans de nombreux endroits, les oiseaux n’ont pas été épargnés. La semaine du 1er novembre, la Station LPO1 de l’Île-Grande, à Pleumeur-Bodou dans les Côtes-d’Armor, a enregistré plus de 100 appels. « D’habitude, on tourne autour de 40, on a vraiment senti un effet tempête », souligne Romain Morinière, le directeur du site. Au total, vingt-trois animaux ont été accueillis au centre de soin de la...
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Le Covid-19 infecte aussi les testicules

Actualité

N° 414 - Publié le 30 novembre 2023
@ PRODUCTION PERIG / ADOBE STOCK

C’est bien connu, le virus du Covid-19 infecte les poumons, mais aussi les reins, les intestins… et même les testicules ! En octobre, l’équipe Urgent de l’Irset1, à Rennes, a publié les résultats d'un travail amorcé en 2020, lorsqu’une étude chinoise met en évidence la présence du SARS-CoV-2 dans du sperme. « Dans le même temps on observait que le taux de testostérone diminuait chez les patients infectés. Nous savions aussi que les récepteurs du virus étaient très présents dans cet organe », se souvient Nathalie Dejucq-Rainsford, qui dirige l’équipe. Grâce à une culture de testicule humain, ces spécialistes de l’appareil uro-génital montrent que le virus se réplique dans plusieurs cellules testiculaires, sans toutefois altérer le fonctionnement de l’organe. La baisse du taux de testostérone serait plutôt à attribuer à l’inflammation globale causée par la maladie. De plus, l’infection du testicule finit par s’éteindre toute seule. L’étude de l’Irset est donc rassurante et permet « d’écarter l’idée que le testicule serait un réservoir du virus », souligne la biologiste.

VIIOLETTE VAULOUP

1. Institut de recherche en santé, environnement et travail.

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